Author archives: Agnès Olive

Vroum ma poule, en route vers le circuit court

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Encore une belle initiative que celle de rendre accessible au plus grand nombre les produits locaux grâce à un service de livraison en points retraits, et ce en milieu rural ! Les petits agriculteurs ne sont souvent pas si loin mais il est parfois difficile de se rendre dans les exploitations par manque de temps ou de véhicule… Mathilde et Magali Monnet, deux sœurs dont l’une vivait à Paris, se sont reconverties à la campagne pour créer leur petite entreprise en se basant sur la sensibilité au terroir, l’entraide et l’écologie. Ce sont leurs parents et grands-parents, amoureux de leur campagne et passionnés par la nature, qui leur ont transmis l’amour de la terre et de leur région. Les deux sœurs, filles d’artisans-commerçants et petites-filles d’agriculteurs se sont donc unies pour donner du sens à une consommation plus raisonnable et raisonnée. Vroum ma poule a pris place à Savigneux au cœur de la Dombes pour fonctionner dans la région Rhône-Alpes : une épicerie en ligne qui est l’opportunité pour chacun d’être acteur de sa consommation en se nourrissant de manière saine et locale tout en participant à la vie de sa région ! Comment cela fonctionne ? Tout simplement : on compose son panier sur le site de Vroum ma poule qui ne compte pas moins de 300 références et on choisit son lieu et date de retrait tandis que les filles se chargent d’aller acheter les produits choisis chez les producteurs et de les livrer dans les points relais choisis. On récupère son panier dans sa boulangerie, presse, petite épicerie ou commerce de village exactement comme cela fonctionne dorénavant dans les grandes villes ! Allez vroum… le circuit court c’est parti 😉

www.vroummapoule.fr

Reborn, mobilier de seconde main

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Acheter ses meubles d’occasion, c’est bon pour la planète et pour le porte-monnaie ! Alors Reborn est née… c’est la première plate-forme d’achats et ventes de meubles et d’objets de décoration d’occasion en vidéo avec solutions de livraison organisées. Fondée par Ismaël et Adam, la start-up fait le pari de la rencontre entre deux univers : le mobilier et le digital via la vidéo pour pousser un marché mal développé jusqu’à présent : le mobilier d’occasion. Souvent relégués à du mobilier abîmé, de douzième main ou de mauvaise qualité, les meubles d’occasion sont plutôt mal échangés et ce à cause aussi des problèmes de déplacement de lourdes pièces. Ici les meubles et objets de décoration sont sélectionnés et choisis soigneusement. On peut vendre et acheter alternativement de manière transparente grâce au système de vidéo en place. En tant qu’acheteur, vous visionner les produits sur les vidéos, vous pouvez négocier et discuter directement avec le vendeur, et une fois d’accord sur le prix définitif, vous payez sur le site et c’est Reborn qui se charge de vous livrer à domicile. En tant que vendeur, vous vous inscrivez sur le site, vous envoyez les films de vos produits, et après acceptation, Reborn vient les chercher à domicile. Une fois la transaction effectuée, Reborn vous reverse votre argent. Meubles, décoration, luminaire, jardin… on trouve de tout pour la maison et même si on doit bien payer Reborn c’est toujours plus écolo que d’acheter du neuf 😉 

www.reborn-app.fr

Le "Buy Nothing Day"

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On en a plus que marre de la surconsommation et le Black Friday en est l’apologie ! Face à cette journée noire pour la planète, une résistance s’organise en contre-attaquant, en France comme ailleurs, et ce n’est pas nouveau car le « Buy Nothing Day » (BND) donc « La Journée sans achat » en français, manifestation de boycott des achats pour protester contre le gaspillage de la société de consommation, a été lancé en 1992 par le canadien Ted Dave et s’appelait à l’époque le « No shop Day », puis a été repris et diffusé par plusieurs associations militantes. Alors que la plupart des consommateurs dans le monde se frottent les mains pour dénicher les bonnes affaires jusqu’à se ruer dans les magasins, ce qui nous donnent parfois des images hallucinantes, d’autres au contraire se lancent le défi de ne rien dépenser, d’oublier la carte de crédit pour ne pas nourrir le système ! La surconsommation du Black Friday est une aberration écologique à notre époque, mais c’est aussi un symbole de notre société de consommation qui entraîne la dégradation de l’environnement mais aussi l’exploitation des populations, la perte des valeurs humaines, l’emprise de la publicité sur nos comportements… En France et dans toute l’Europe ce BND a lieu en principe le dernier samedi de Novembre (le 26 donc pour cette année) mais certains préfèrent le jumeler avec le Black Friday pour mieux signifier leur boycott et le renomme ainsi le Green Friday. Peu importe l’un ou l’autre, l’essentiel c’est de trouver l’occasion de ralentir un peu la course effrénée aux achats, avant de préparer un Noël responsable, durable et sans déchet (ou presque) ? 😉

"L'art et l'écologie", MOOC du Centre Pompidou

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Et d’abord, avant toutes choses, qu’est-ce qu’un MOOC (Massive Open Online Courses) ? Il s’agit de cours gratuits donnés en ligne qui permettent un accès au savoir et à la connaissance pour tous, du moins en théorie… Ainsi depuis 2017 le Centre Pompidou propose des MOOC et ces cours dispensés gratuitement en ligne donnent au public des clés pour appréhender l’art contemporain, pas toujours très accessible il faut bien le dire ! Après le succès du MOOC « Elles font l’art » ayant réuni plus de 42 000 inscriptions en 2021, le Centre Pompidou propose actuellement un MOOC sur l’écologie dans l’art. Il s’agit d’un cours qui déroule un parcours thématique en cinq séquences présentant les différentes pratiques écologiques à l’œuvre chez les artistes de 1960 à nos jours : Du sentiment de Nature à l’art écologique (du 19ème siècle à 1945) / L’art du déchet / L’art avec la nature / l’art activiste / L’art du vivant : biotechnologie. En prenant appui sur la collection du Musée national d’art moderne, des spécialistes dressent un récit de l’écologie de l’art contemporain. Autant de thèmes intéressants : de la pratique de la récupération et du recyclage au nouveau regard porté sur le vivant, de l’engagement dans des performances artistiques et militantes à l’émergence d’une perception différente de l’acte de création, les enjeux environnementaux traversent la démarche de nombreux artistes depuis les années 1960 et occupent aujourd’hui une place décisive, contribuant à redéfinir l’horizon même de l’art contemporain. Il y a peu d’avantages à la numérisation de nos vies qui nous collent sur des écrans et nous éloignent de la nature mais parfois on y trouve quand même certains bénéfices… alors autant en profiter 😉

Du fromage de chèvre qui ne tue pas la chèvre !

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Connaissez-vous la lactation continue ? Ce procédé défendu et médiatisé par le chevrier Jean-Yves Ruelloux à Priziac dans le Morbihan séduit tout le monde y compris les vegan ! Il faut dire que grâce à ce procédé Jean-Yves a sauvé 450 chevreaux de l’abattoir… une technique de chevrier mais aussi une philosophie de vie dans la douceur et la bienveillance envers les animaux. En principe fabriquer du fromage de chèvre c’est imposer à ses chèvres des grossesses à répétition et envoyer non stop des chevreaux à l’abattoir : une horreur pour les animaux et un supplice pour l’éleveur sensible à la souffrance animale ! La lactation longue est une méthode qui permet de traire les chèvres toute l’année, sans faire naître de chevreaux. C’est une journaliste de France Culture, Inès Léraud, qui a mis en lumière cette méthode du chevrier avant-gardiste dans l’émission Les Pieds sur Terre. Ce dernier a raconté comment il pratiquait la lactation longue avec ses 17 chèvres et tous les avantages qu’il en retirait : des coûts vétérinaires quasi inexistants, plus aucun chevreau à envoyer à l’abattoir, des chèvres qui meurent de leur belle mort sur son domaine et un revenu qui se maintient à peu près le même ! « On n’a plus l’impression de faire de la production, on a l’impression de partager sa vie avec des animaux et de s’échanger des services les uns avec les autres » a expliqué le chevrier au micro de la journaliste. Toutes ses chèvres ont un nom, elles sont apprivoisées comme des animaux de compagnie, et la plus vieille a 14 ans ! Aujourd’hui grâce au succès de cette émission de radio tout le monde vient à la rencontre de Jean-Yves : futurs agriculteurs, éleveurs, journalistes, chercheurs et curieux, tous veulent apprendre cette méthode et même les vegan qui vont peut-être pouvoir remanger du fromage s’il est fabriqué dans ces conditions… Inspiré et inspirant, c’est ce qu’on appelle chez Marseille Vert : le progrès 😉

La Lutte contre le Gaspillage Alimentaire

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Le 16 octobre c’est la Journée Nationale de Lutte contre le Gaspillage Alimentaire. De nos jours, alors qu’un milliard d’êtres humains souffrent de malnutrition sur notre planète, un tiers de la production mondiale de nourriture est gaspillée. L’ensemble des producteurs, distributeurs et consommateurs des pays occidentaux jette une quantité de nourriture qui pourrait nourrir 7 fois la population qui a faim dans le monde… De plus en 2050 nous serons 9 milliards d’habitants sur terre et autant de bouches à nourrir alors qu’il faut dorénavant aussi compter avec la préservation des ressources naturelles… Sur le plan mondial, c’est environ 1/3 de la nourriture qui est jetée ! Chaque année en France la quantité de déchets alimentaires s’élève à 2, 3 millions de tonnes dans la distribution, 1, 6 millions de tonnes dans la restauration et 5, 2 millions de tonnes dans les foyers. Chaque français jette à la poubelle 20 kilos de nourriture par an dont 7 kilos qui sont encore emballés… chaque année ce sont des milliers de kilos de pommes, abricots déformés, cerises fendues, tomates biscornues qui sont jetés par les producteurs alors que ces fruits et légumes sont tout autant délicieux… des chiffres qui deviennent insupportable à notre époque. Il est temps de faire quelque chose !! La France s’est engagée au travers du Pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire à réduire de moitié le gaspillage alimentaire à l’horizon 2025… mais nous devons également chacun nous y mettre dans notre cuisine ! L’initiative de cette Journée nationale s’inscrit dans la volonté de tout faire pour réduire ce gaspillage alimentaire scandaleux : tout au long de la journée partout en France le public sera sensibilisé et informé pour réduire le gaspillage à la maison. A Marseille rdv sur le Vieux-Port avec l’association Les Epuisettes et Triple A (Adopter l’Attitude Antigaspi) : on pourra déguster une délicieuse cuisine antigaspi préparée par des chefs et c’est gratuit ! On y va 😉 

GreenMinded, tout pour l'environnement

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Au début de sa création en 2016, le principal objectif de GreenMinded était la lutte contre la pollution des mégots de cigarettes en proposant des solutions (sensibilisation, collecte et recyclage)… mais une pollution en amenant hélas une autre… la dimension de l’association s’est rapidement élargie pour s’attacher de manière plus générale, et à travers toute la France, d’une part à la sensibilisation des plus jeunes au zéro déchet et d’autre part à travailler sur la protection de la biodiversité. Fondée initialement par Alice Comble tandis qu’elle poursuivait ses études à l’école d’ingénieurs Mines-Télécom de Lille, l’association a depuis remporté de nombreux prix, ce qui lui a permis de se constituer une notoriété médiatique (notamment avec la vidéo du média Brut qui a généré 9 millions de vues !!) et de mettre en place une boutique solidaire en ligne. Trois volets donc actuellement à l’action de cette super asso qui réunit grand nombre de bénévoles : limitation de la pollution par les déchets, sensibilisation des jeunes à la crise écologique actuelle, et soutien et protection de la biodiversité… et la boucle est bouclée ! Aujourd’hui les « GreenMakers » ont lancé un programme d’éducation à l’environnement ambitieux puisqu’il s’adresse aux élèves du CP jusqu’à la Terminale et concerne autant le zéro déchet que la protection de la biodiversité : un temps de sensibilisation théorique et participatif suivi d’un atelier pratique (facultatif) pour le primaire et le secondaire. Un programme « à la carte » est proposé aux établissements pour s’adapter aux besoins des élèves comme aux possibilités des structures. Les enfants peuvent apprendre à faire des boules de graisse pour aider les oiseaux en hiver ou des bombes à graines pour donner un coup de pouce à la biodiversité locale, tandis que les plus grands peuvent apprendre à fabriquer un compost, une ruche pour abeilles solitaires ou un cendrier de poche ! Et l’année dernière GreenMinded a obtenu le label « Relais Eco-Ecole » : on dit bravo 😉
 
www.greenminded.fr

Plastic Odyssey c'est parti !

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La grande aventure de Plastic Odyssey a choisi le port de Marseille pour larguer les amarres ! Départ le 1er octobre vers une longue « expédition des solutions contre la pollution plastique ». D’abord mission Méditerranée jusqu’à la fin de l’année (Liban, Egypte, Tunisie) puis en 2023 c’est l’Afrique de l’Ouest et l’Amérique Latine, en 2024 direction l’Asie Pacifique et 2025 le voyage se terminera en Afrique de l’Est. En tout, il est prévu plus de 30 escales de 3 semaines sur 3 continents. C’est toute une équipe qui est engagée depuis 2018 dans ce grand projet très ambitieux autour de Simon Bernard, le Président fondateur, accompagnée de nombreux ambassadeurs, soutiens, partenaires… Le projet a deux volets : nettoyer le passé en recyclant le plastique qui a été produit et construire demain en réduisant la production de déchets. Le rêve de Simon c’est « de permettre à des gens de gagner leurs vies grâce aux déchets qui envahissent leurs villes », faire du déchet une opportunité en inventant des modèles économiques d’entrepreunariat social afin de créer de la valeur et des emplois tout en dépolluant… Pour prouver que les déchets ont de la valeur le navire de Plastic Odyssey embarque plusieurs machines de valorisation du plastique à des fins de test et de démonstration pour tous, et le bateau lui-même collecte les déchets à terre et produit son carburant grâce à la pyrolyse embarquée pour le stocker et l’utiliser à bord. C’est un grand voyage dans des pays inondés de déchets pour expliquer, sensibiliser, innover, promouvoir des solutions sur le terrain… en fait le navire est une grande vitrine sur mer pour changer notre façon de vie à terre… On va pouvoir découvrir ça de très près car pendant une semaine à Marseille sur l’Esplanade du MuCEM : visites organisées du navire, rencontres avec l’équipage, découverte du laboratoire mobile et démonstration de recyclage, baptême du navire et pour le départ régate et armada ! Les marseillais sont attendus en mer avec leurs bateaux ou à terre avec leurs yeux pour regarder un beau spectacle 😉 

Toutes les informations ICI.

« Retour à Campana », l’exploration à l’état pur

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Voilà une histoire merveilleuse qui nous fait rêver et qui va permettre de réaliser une enquête environnementale à travers les temps ! Frédéric Presles, membre de la Société des Explorateurs Français, accompagné d’une équipe scientifique, va rejoindre une petite île blottie au pied de la cordillère de la Patagonie Chilienne : l’île Covadonga, située dans l’archipel Campana, une île à peine plus grande que Porquerolles et singulière à plusieurs titres. Inhabitée, vierge, jamais foulée auparavant car difficilement abordable, isolée par des récifs, des courants, des marées, des vagues… elle s’est maintenue sauvage et préservée depuis que les 20 naufragés du navire La Delphine – l’un des premiers Cap-Horniers qui a desservi ce trajet – ont pu enfin la quitter après 7 mois de captivité forcée par leur naufrage… C’était il y a 180 ans ! Parmi les naufragés, Alfred Buot de l’Epine, jeune lieutenant de bord sur le bateau, a consigné cette aventure extraordinaire dans un manuscrit qui a traversé les temps pour finalement se retrouver dans les mains de Frédéric qui est en réalité son arrière-arrière-petit-fils ! Incroyable mais vrai. L’équipe est partie récemment en repérage pour préparer cette fabuleuse aventure qui se déroulera sur trois mois pendant lesquels ils vont parcourir plus de 900 km à la voile entre les 50e hurlants et le 40e rugissants. Frédéric va pouvoir refaire cette navigation épique sur le même type d’embarcation et dans des conditions proches de celles des marins de l’époque en empruntant le sillage de son aïeul et il sera accompagné par le marin Cristian Donoso, un des plus grands explorateurs de la Patagonie. Une occasion unique pour analyser l’environnement en s’appuyant sur les descriptions du manuscrit de l’histoire des naufragés avec celles qu’il va observer et en tirer des informations précieuses sur l’évolution de la nature dans cette région déserte et inconnue. Départ début octobre : on va suivre ça de très près 😉

Pour en savoir plus, pour soutenir l’explorateur et participer à cette fabuleuse aventure c’est ICI que ça se passe.


Photos @Frédéric Presles

Le Festival de la Ville Sauvage, Marseille au cœur !

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Le cœur de Marseille va battre fort cette semaine ! A l’heure où de nombreuses villes manquent d’imagination, sont tristes, formatées, stéréotypées, standardisées, et maintenant numérisées… on a besoin de nature, de créativité, de désir, de vivant, on a besoin de sauvage dans nos villes ! Car la ville est vivante, elle embellit ou enlaidit, souffre, guérit, grandit et parfois meurt lentement aussi… L’association « Va jouer dehors ! » organise à Marseille son premier Festival de la Ville Sauvage du 15 au 17 septembre dans une magnifique friche industrielle du 15ème arrondissement, les anciens entrepôts Abitbol. Durant ces 3 jours des architectes, urbanistes, femmes et hommes politiques, artistes, comédiens, chefs cuisiniers, tous venus d’Europe et d’Amérique latine vont parler du vivre-ensemble, de la ville et d’architecture. Pour l’architecte Matthieu Poitevin, qui a conçu cette manifestation internationale, « l’architecture doit bel et bien devenir le moyen d’inventer une autre façon d’habiter la planète » (à lire son entretien passionnant avec Marcelle, le média de solutions). D’autant qu’un nouvel élément entre en jeu aujourd’hui avec le réchauffement climatique… selon l’architecte marseillais, pour notre empreinte carbone, mieux vaut transformer les bâtiments plutôt que de les raser pour reconstruire (et faire du laid en plus !), cela permet de mieux construire la ville sur son passé et en plus beau : c’est de l’upcycling architectural, on adore ! Au programme du Festival, d’abord un Città’s banquet préparé par Emmanuel Perrodin où 170 personnes venues de pays latins vont tenter de répondre à la question « c’est quoi la ville sauvage ? » tout en festoyant, suivi de Tandems où des architectes aussi incroyables que contrastés dialogueront ensemble comme Esther Caro qui transforme les décharges en jardins dans les favélas de Sao Paulo avec Julien Beller l’architecte parisien visionnaire, que des rencontres improbables… Ensuite avec Cœur sur la ville on parlera logement à Marseille, mais on en parlera différemment pour une fois, à partir d’une enquête portée par la Fondation Jean Jaurès. Ça continuera avec La Grande chaîne qui va réunir et donner la parole à 150 étudiants en architecture pour construire le monde de demain ! Enfin le Festival se terminera avec Figures libres, des rencontres publiques pour une véritable ode à la Méditerranée avec des villes comme Athènes et Naples, des sœurs de Marseille… Tout pour réparer, embellir et transformer nos villes et ré-ensauvager le monde ! Et Marseille alors, est-elle une ville sauvage ? Plutôt deux fois qu’une… la belle et rebelle 😉

Plus de renseignements sur va-jouer-dehors.fr


@VJD


@Claudia Goletto


@Sébastien Normand